Mourir pour des dessins, pour une certaine idée de la liberté... Le 7 janvier 2015, vers 11 h 30, les frères Chérif et Saïd Kouachi pénètrent dans la rédaction de Charlie Hebdo. Armés de fusils d'assaut, ils assassinent onze personnes, dont huit membres de la rédaction du journal satirique. Parmi les victimes, Stéphane Charbonnier, dit Charb, qui vivait sous protection policière depuis 2011. En 2013, Charb avait répondu sans langue de bois aux questions de la revue Charles, notre partenaire.
Naissance?
Ma mère a dépoté à Conflans-Sainte-Honorine en 1967. Mais j’ai
grandi juste à côté dans le Val d’Oise, à Pontoise. A l’époque, c’était encore la Seine et Oise.