Sept.info | Deux ans aux côtés des Yakuzas (2/2)

Deux ans aux côtés des Yakuzas (2/2)

Le Belge Anton Kusters a eu la folle idée d’intégrer une famille de Yakuzas, organisation criminelle japonaise, et de les photographier. Il raconte cet univers fait de violences et de secrets. Deuxième partie de son récit.

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La famille Shinse-kai travaille beaucoup pendant la nuit. © Anton Kusters

Les propos ayant servi à réaliser cette histoire ont été recueillis par Antoine Coste Dombre au cours d’un entretien avec Anton Kusters. Les mots qui suivent sont les siens.

Chez les Yakuzas, la relation chef-partisans est extrêmement importante. C’est toujours fondé sur un lien Oyabun (le parent, le chef) et Kobun (l’enfant, le protégé), gage de confiance pour survivre. Tous les membres doivent respecter les règles de leur Oyabun, leur chef. Personne ne dirait jamais non à son chef, c’est impossible.

Par exemple, si vous commettez une erreur, vous devez vous excuser et, parfois, si vous faites une grosse erreur, vous devez vous infliger le Yubitsume. Cette pratique d’auto-ablation du petit doigt prouve bien l’importance de la relation de respect entre le chef et les membres de la famille.

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